Les milléniaux, nouveaux champions de la consommation responsable
Les 18-24 ans deviennent les chefs de file de la consommation responsable au Québec, suivis de près par les baby-boomers. « Pour la première fois depuis six ans, nous observons un...
Greenpeace s’en prend à plusieurs marques de l’industrie du prêt-à-porter, particulièrement au géant Zara.
Dans son étude "Les dessous toxiques de la mode", l’ONG dénonce l’utilisation de substances toxiques par des grandes marques de l’industrie, dont Levi’s, Esprit, Mango et Tommy Hilfiger. Greenpeace accuse plus particulièrement la chaîne Zara, dont les vêtements contiendraient des perturbateurs hormonaux, ayant des répercussions néfastes sur l’environnement et sur la santé humaine. "Ces matières perturberaient non seulement le système hormonal mais pourraient aussi être cancérigènes ", indique Greenpeace.
L’organisme reproche également à la chaine de vêtements de ne pas avoir encore agis, contrairement à d’autres marques du secteur. En effet, après la diffusion de la première édition de cette enquête de Greenpeace en 2011, Puma, Nike et H&M s’étaient engagés à revoir leur chaîne d’approvisionnement afin d’en bannir les substances chimiques toxiques et trouver des alternatives.
Greenpeace appelle donc les internautes à se mobiliser avec sa campagne Detox et à faire pression sur Zara. "Nous demandons aux marques de promouvoir un futur sans produits toxiques et de collaborer avec tous leurs fournisseurs afin d’exclure les produits chimiques dangereux de leur chaîne d’approvisionnement et de leurs produits ", mentionne Greenpeace.
L’organisme vise à ce que les marques s’engagent à atteindre "zéro rejet de tous les produits chimiques dangereux" d’ici à 2020. Il demande également aux fournisseurs de faire connaître les produits chimiques toxiques qu’ils rejettent dans l’environnement.
Pour consulter le rapport, cliquer ici.
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