Les milléniaux, nouveaux champions de la consommation responsable
Les 18-24 ans deviennent les chefs de file de la consommation responsable au Québec, suivis de près par les baby-boomers. « Pour la première fois depuis six ans, nous observons un...
Greenpeace a mené une opération d’éclat devant les bureaux de Xerox, à Montréal, accusant l’entreprise d’acheter et distribuer du papier issu de forêts intactes. L’ONG souligne en effet que Xerox compte parmi ses fournisseurs de papiers Abitibibowater, décrite par Greenpeace comme étant « une entreprise forestière reconnue pour la fragmentation des dernières zones de forêts intactes et de l’habitat du caribou forestier« .
Après plusieurs années de confrontation avec Abitibibowater, Greenpeace se tourne aujourd’hui vers ses grands clients en vue d’influencer les pratiques d’approvisionnement. « Les produits de papier de Xerox ne devraient tout simplement pas être fabriqués à partir de pâte ou de bois provenant de forêts à hautes valeurs de conservation ou de l’habitat du caribou forestier« , dit Mélissa Filion, de Greenpeace.
L’ONG a ainsi mené une opération d’éclat, le 30 juillet dernier, aux bureaux montréalais de Xerox : des militants y brandissaient notamment des bannières déclarant « Xerox : n’achetez pas la destruction« . Toujours selon Greenpeace, Patricia A. Calkins, vice-présidente, Environnement, chez Xerox, refuse de rencontrer les représentants de l’ONG ; celle-ci mène donc depuis une campagne Web (voir la vidéo ci-dessous) afin que les internautes exercent eux aussi une pression sur l’entreprise.
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