Les milléniaux, nouveaux champions de la consommation responsable
Les 18-24 ans deviennent les chefs de file de la consommation responsable au Québec, suivis de près par les baby-boomers. « Pour la première fois depuis six ans, nous observons un...
Toujours en conflit avec le Rainforest Action Network, la forestière Weyerhaeuser fait maintenant l’objet d’une mission d’évaluation d’Amnesty International. L’entreprise fait face à un conflit persistant avec la communauté des Premières Nations de Grassy Narrows, dans l’ouest de l’Ontario, qui l’accuse d’effectuer des coupes à blanc et d’exploiter les ressources de son territoire sans son consentement. À ce mouvement, soutenu par le Rainforest Action Network, s’ajoute maintenant une mission d’Amnesty International.
L’organisme a en effet débuté cette semaine une mission sur le territoire de Grassy Narrows en vue de documenter l’impact de l’exploitation forestière et autres développement industriels sur les droits et la culture des populations locales. Le but est de mener Weyerhaeuser à respecter l’appel des Premières Nations qui souhaitent un moratoire sur tout nouveau développement n’ayant pas obtenu leur consentement préalable.
Dans une lettre ouverte adressée au Premier Ministre d’Ontario, Dalton McGuinty, Amnisty International regrette que le gouvernement provincial ne soit pas intervenu dans cette affaire pour laquelle »il y a eu peu, voire aucune, consultation, et encore moins de consentement » de la part des populations locales.
« La présence d’Amnisty International à Grassy Narrows est un signal d’alarme à l’attention des Nord-américains qui pensent que l’abus des droits humains dans nos pays est chose du passé« , dit Brant Olson, du Rainforest Action Network.
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