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L’élevage de poules est maintenant autorisé sur le territoire de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, à l’instar de plusieurs grandes villes nord-américaines comme New York, Chicago, Seattle et Vancouver.
Le maire de l’arrondissement Réal Ménard, en a fait l’annonce cette semaine. L’initiative s’inscrit dans le cadre du plan de développement durable de la ville et répond, selon l’arrondissement, à une demande grandissante de la population montréalaise.
Les citoyens pourront garder dans leur jardin un maximum de cinq poules, à condition que le terrain soit clôturé et d’une superficie minimale de 3000 m2 — ce qui correspond notamment à la superficie de huit jardins communautaires de l’arrondissement qui pourraient accueillir des poules. Pour favoriser la cohabitation avec les voisins, les poulaillers devront être à au moins 10m d’une autre propriété.
L’élevage de poules pourra également servir à des projets éducatifs et de sensibilisation. « Les poules fascinent les enfants et constituent une attraction pour eux. L’élevage de poules permet donc de créer un lien social avec les voisins qui peuvent s’intéresser à cette activité. Nous pourrions alors avoir des projets de poulaillers éducatifs servant à éduquer la population sur le mode agricole et la production des aliments ou encore des camps de jour peuvent être organisés afin de montrer aux enfants comment prendre soin des poules », fait valoir Laurence Lavigne-Lalonde, conseillère de Maisonneuve–Longue-Pointe.
Des poules sont hébergées ailleurs à Montréal, notamment dans Rosemont-La Petite-Patrie qui a mis sur pied en 2011 un projet pilote de poulailler éducatif.
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