Les milléniaux, nouveaux champions de la consommation responsable
Les 18-24 ans deviennent les chefs de file de la consommation responsable au Québec, suivis de près par les baby-boomers. « Pour la première fois depuis six ans, nous observons un...
Sept ans après la sortie du film de Richard Desjardins, le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) remet en cause la thèse défendue par le documentaire et affirme que la forêt boréale se régénère. Le CIFQ a répondu par des images, en se rendant sur les terrains dont il était question dans L’Erreur boréale et en y tournant son propre court métrage ; ces images « démontrent hors de tout doute que la forêt boréale se régénère, qu’elle est même en santé« , a déclaré le président du Conseil, Guy Chevrette.
Selon l’organisme, qui représente plus de 350 scieries et papetières, la forêt évolue lentement et est correctement récoltée ; elle n’est pas bradée, mais plutôt protégée pour assurer sa pérennité. « A l’opposé des propos tenus par nos détracteurs, la réalité prouve que la forêt profite d’activités d’aménagement forestier respectueuses et rigoureuses, telles qu’on les pratique au Québec […], a dit Guy Chevrette. En leur permettant d’avoir les deux côtés de la médaille, les gens pourront se faire eux-mêmes une idée. Tout n’est pas parfait, mais j’espère que ceux qui ont critiqué, à tort dans le passé, sauront reconnaître la vérité.«
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