Les milléniaux, nouveaux champions de la consommation responsable
Les 18-24 ans deviennent les chefs de file de la consommation responsable au Québec, suivis de près par les baby-boomers. « Pour la première fois depuis six ans, nous observons un...
Des militants de Greenpeace se sont présentés hier devant l’Assemblée nationale afin de demander officiellement au gouvernement Charest qu’il adopte un moratoire de développement industriel en forêt boréale. Ces zones s’étendent sur 113000 km2 en forêt commerciale et 180000 km2 au nord de la limite nordique de coupe.
« Greenpeace ne réclame pas l’arrêt complet et permanent des coupes forestières au Québec, [mais] un arrêt pour une durée indéterminée, le temps de se donner un véritable réseau d’aires protégées« , dit Mélissa Filion, de Greenpeace.
L’organisme rappelle que seulement 3,4% du territoire québécois est protégé contre l’exploitation industrielle, alors qu’en 1992, Jean Charest, alors ministre fédéral de l’Environnement, avait signé
Greenpeace exige donc qu’au terme de ce moratoire de nouvelles aires protégées, plus nombreuses et plus larges, soient définies en forêt boréale commerciale, que la limite nordique de coupe soit maintenue et qu’un fonds de dotation soit mis en place pour assurer à la fois la protection de la forêt boréale et la diversification de l’économie des communautés qui en dépendent.
« À la veille d’une élection, la protection de la forêt boréale devrait être un enjeu pour tous les partis politiques« , estime Mélissa Filion.
Pour télécharger le feuillet d’information émis par Greenpeace, cliquer ici.
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