Le PNUE crée un réseau mondial de la carboneutralité
Vancouver et Interface figurent parmi les premiers membres d’un regroupement de pays, villes et entreprises décidés à devenir carboneutres.
Vancouver et Interface figurent parmi les premiers membres d’un regroupement de pays, villes et entreprises décidés à devenir carboneutres. Sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), le Réseau pour un climat neutre vise à fédérer les nations, autorités locales et entreprises engagées dans une démarche carboneutre et à tisser entre elles un réseau mondial d’échange d’informations.
Quatre pays — Costa-Rica, Islande, Nouvelle-Zélande et Norvège –, quatre villes — Vancouver, Arendal (Norvège), Rizhao (Chine) et Växjö (Suède) — ainsi que cinq entreprises — dont Interface Flor –, sont les premiers adhérents à ce réseau.
Les défis, stratégies et objectifs varient d’un membre à l’autre. Par exemple, le Costa-Rica veut devenir carboneutre d’ici 2021, année du bicentenaire de son indépendance; la Norvège vise 2030, soit 20 ans plus tôt que ce qui avait été préalablement annoncé. Dans le cas de Vancouver, la municipalité s’est fixé comme objectifs de rendre carboneutres ses opérations d’ici à 2012 et de réduire de 80% l’ensemble des GES émis dans la ville d’ici à 2050.
Le PNUE souhaite qu’au cours des prochains mois, entreprises, organisations, particuliers et agences intergouvernementales s’associent à cette initiative.
"Ce réseau s’inscrit sur le long terme et peut également servir à mobiliser une vaste réponse démontrant que la transition vers un futur à faible carbone, voire sans carbone, est possible si les actions inspirantes et pratiques sont élargies au monde entier", dit Achim Steiner, directeur exécutif du PNUE.
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