Dans son rapport de responsabilité sociale, Desjardins expose ses divers engagements, tant dans ses modes de gestion que dans ses stratégies d’investissement. « Lorsque l’on se préoccupe du rôle plus large de l’entreprise dans la collectivité, que l’on se préoccupe de la relève, que l’on cherche à établir des relations durables et harmonieuses avec les diverses parties prenantes […], on voit obligatoirement au-delà du prochain trimestre« , écrit en introduction la présidente de Desjardins, Monique Leroux.

Desjardins rend notamment compte des résultats obtenus en ce qui concerne la réduction de son empreinte environnementale : gestion des matières résiduelles (implication dans le programme Ici, on recycle), organisation d’événements écoresponsables, adoption du café équitable et du papier écologique, etc. Desjardins mentionne par exemple que, dans le cadre de sa politique d’approvisionnement responsable, adoptée en 2006, ses fournisseurs sont de plus en plus impliqués : ils devront prochainement produire une déclaration environnementale pour leurs produits.

Desjardins expose également sa responsabilité en matière d’investissement : l’institution souligne en effet que son impact climatique découle moins de ses activités de gestion que de ses stratégies d’investissement dans des entreprises qui peuvent, elles, avoir un impact important. En outre, l’entreprise a participé en 2008 à une étude du Rainforest Action Network sur l’impact climatique lié au financement d’entreprises productrices d’énergies fossiles : Desjardins a obtenu le deuxième plus faible impact, derrière Vancity, et devant la Banque Scotia, BMO et TD. D’ailleurs, Desjardins prévoit se doter, dans le cadre de son prochain plan stratégique, d’une politique sur les changements climatiques.

A noter que les lecteurs peuvent évaluer la qualité de ce rapport, publié uniquement en version électronique, grâce à une fonction accessible tout au long du document.

Pour télécharger le rapport, cliquer ici.