Le Fonds de solidarité FTQ a publié, au début du mois, son premier rapport de développement durable.

Dans les faits, ce rapport est intégré au rapport annuel de l’institution, établi selon les lignes directrices de la Global reporting initiative (GRI): le document y dresse les bilans économique, social et environnemental de l’entreprise, incluant les liens avec les parties prenantes et les enjeux de gouvernance et d’éthique.

"Que ce soit par l’analyse du bilan social de ses entreprises partenaires ou par la formation économique des travailleurs, la mission du Fonds est au cœur de ce qu’est aujourd’hui une entreprise socialement responsable", dit Michel Arsenault, président de la FTQ.

Sur le plan social, le document souligne l’implication du Fonds dans la construction de la Maison du développement durable ou aux côtés d’organismes tels que la Fiducie du Chantier de l’économie sociale; tandis que sur le plan environnemental, on y fait état des efforts mis en place en vue de réduire l’empreinte écologique de l’entreprise (gaz à effets de serre, gestion des matières résiduelles, consommation énergétique, etc.).

"A partir de ce premier constat, des forces ainsi que des pistes d’amélioration seront mises en lumière. Dans nos futurs rapports, nous pourrons donc mesurer le progrès effectué année après année", écrit Michel Arsenault en introduction.

Ce rapport a été rendu public dans le cadre de l’assemblée annuelle du Fonds qui, pour une quatrième année, a été organisée de façon carboneutre.

Pour consulter le rapport en ligne, cliquer ici.